I ❤️ New York

Hello everyone 🖐️ It's me, I'm back

Nous n’allions tout de même pas nous quitter comme ça, sous la pluie du mémorial du World Trade Center tout de même !

Aussi incontournable et indispensable soit-il pour moi d’y avoir consacré l’entièreté de ma dernière publication, et puisque demain se tiendront à ce même endroit les commémorations du 22ᵉ anniversaire, je me devais bien de conclure ce chapitre new-yorkais sur des photos un peu plus distrayantes.

Car cela n’aura pas échappé à celles et ceux qui sont habitués à venir me retrouver par ici, de constater que jusqu’à présent cela manquait clairement de fun et de couleurs. Autant vous dire qu’à New York, ce n’est pas ce qui manque, justement.

Bon, pour ce qui est des taxis jaunes, sans surprise pour quiconque, ici à Big Apple, ce n’est pas une légende, ils sont bel et bien là (les bus scolaires aussi).

Petite piqûre de rappel en images : bien que je vous en aie déjà montré plusieurs auparavant, je ne résiste pas à vouloir voir figurer aussi celles-ci.

Mais j’avais oublié, par exemple, de vous dire :

👉 que les pompiers de NY ont réellement la cool attitude… v’là-t’y pas que ça te fait des coucous et ça prend la pose alors que tu n’as rien demandé. (Top extra, les gars, vraiment, ne changez rien, on vous aime comme ça).

👉 J’avais oublié aussi de montrer combien la gare Grand Central Terminal vaut le détour et qu’il est incontournable de s’y rendre, même sans aucune destination en vue, tellement elle est un musée à elle seule.

👉 J’avais également oublié, précédemment, d’exprimer à quel point un ciel nuageux sur Manhattan est encore plus spectaculaire.

👉 Peut-être aussi avais-je oublié de préciser que les rues ne manquaient pas d’originalité.

👉 J’avais totalement oublié, mais surtout je n’ai pas pu vous montrer un dixième du festival coloré des passants new-yorkais. Si seulement il m’avait été possible d’exploiter le nombre de photos (floues pour la plupart 👎😖) que j’avais fait en marchant, et surtout d’avoir l’autorisation d’étaler publiquement tout ce beau monde !

Fidèles à leur réputation d’être excentriques et d’être peinards avec ça, ils m’ont vraiment régalée…

oh là là, je tenais un catalogue spring 2023 so so amazing !!!!! Alors, on va se contenter de ça, qui donne le ton quand même (le 3ᵉ avec son blouson Versace était un monsieur de plus de 70 ans, il manque sa paire de chaussures à paillettes sur l’image, bref j’adore).

brooklyn Vs BROOKLYN

Et dans toute cette foultitude de fantaisie, entre les enfants maintenus à courte distance de peur qu’ils n’échappent au regard et à la vigilance de leurs proches, il y a le plumage et les roucoulades des volatiles qui viennent se poser au plus proche de ceux qu’on ne regarde plus.

Sans oublier quelques gentils fêlés convaincus pour ci et ça que tu croises ici et là.

Why not?

Ceux-là aussi, tu les vois partout dans les boutiques touristiques, mais c’est tout de même pour Miss Liberty que l’offre est la plus délirante, toutes les finitions possibles, plus ou moins fidèles, cela dit.

Vous n’êtes pas un peu d’accord avec moi pour penser qu’elle fait un peu flipper, celle-là, non ?

Je ne suis pas certaine de vouloir croiser son regard la nuit chez moi (je me sens obligée de remettre une photo de l’originale pour me justifier). Alors, à vous de comparer ! J’attends vos avis en commentaires, mes loulous, et surtout, n’oubliez pas d’activer la cloche et de vous abonner à ma page, ok ?

Ouh là, mais qu’est-ce qui me prend là ? Je débloque ou quoi ? C’est quoi ce forcing qui ne me ressemble pas.

Acceptez mes plates excuses, vraiment.

Aaaah mais oui, mais c’est bien sûr ! Où avais-je la tête !!!! J’ai aussi totalement oublié de vous dire qu’il y a comme un parfum dans l’air à New York, assez constant… qui vous suit comme votre ombre. On peut admettre que ça ne sent pas la rose… Je cherche… Voyons… Non, vraiment, c’est dur à décrire.

Bref, ça fait tourner la tête et je vous le dis sans détours, ça pue, et pourtant y en a qui en raffolent.

You know what I mean?

Reprenons…

👉 Je n’oublie pas, cette fois aussi, de confirmer que les vendeurs de hot-dogs sont toujours bien dans le paysage new-yorkais à chaque mètre de chaque rue, de chaque quartier.

👉 J’avais aussi oublié de préciser que je m’associais à la longue liste de personnes déclarant que les cookies de chez Levain Bakery sont les meilleurs de l’univers. Effectivement, oui, je me confesse, ils sont excellents, comme il se dit sur toute la planète Internet. On est tous un peu des moutons parfois, au risque de se faire pigeonner, on ne va pas en pleurer, il vaut mieux même en rire… Bim, arrive en image ma transition avec La Vache qui rit, alias The Laughing Cow. Ouf, j’ai pu la placer 😅 T’as capté le lien ? Mouton, rire… La Vache qui rit, quoi ! Tout simplement. OK, c’est naze, ça ne fait marrer que moi.

Faut se mettre à ma place aussi, les amis, c’est que ça fatigue, New York ! Si, si, allez les faire, les 20 km par jour, je voudrais vous y voir (Charles, Isabelle… on se comprend, hein ?)

Et là, pas question d’oublier des baskets et de faire la belle en ballerines, je vous le dis ! Ou de faire des fashion faux pas (Non, mais c’est quoi ces mules UGG ? Il vaut mieux être aveugle que de voir un truc pareil, non ? Ne m’en voulez pas d’oser dire ça, mais là, quand même, ça ne va pas un peu trop loin, le mauvais goût ? Et d’ailleurs, tu ne dois pas marcher bien loin avec ça, j’ai dû vieillir… allez, thank you, next).

👉 Arrêtons-nous un peu sur la 5th Avenue. Je ne pense pas que la vie soit plus belle à New York qu’ailleurs, mais s’il en est un qui était plutôt ravi de rentrer au numéro 636 de l’avenue, c’est mon fils.

Pour rappel, et ça, je n’avais pas oublié de l’évoquer dans mon second volet, ce voyage est, à l’origine, pour célébrer ses 20 ans (déjà 20 ans, blablabla, ça grandit trop vite, blablabla, je n’ai pas vu le temps passer, tout ça, on connaît).

Pour la petite histoire, quand il avait 10 ans, nous étions allés au Royaume-Uni et, plus précisément, au parc Legoland… Allez, je vous la fais plus que courte, bien des choses ont changé et évolué pour lui, mais voilà, même 10 ans après… passion LEGO un jour, passion LEGO toujours.

Donc, défense d’oublier de passer par là pour nous (comme d’autres iraient au Guggenheim Museum ou au Museum of Modern Art), chacun son truc.

(mon article sur ses 10 ans à Legoland à retrouver par 👉🏻 ici, celui pensé, écrit et vécu en 2013 par me, myself, oui, 2013, tu lis bien, toi qui hésites encore à faire partie de mon club privé d’abonnés, en ce moment même où tu réalises que je suis constante avec mon blog mais surtout investie sur du long terme et nous pouvons, ensemble, toi et moi, bâtir le monde de demain, en me rejoignant, en votant pour moi, tu… oups !!! voilà que l’odeur revient, bon sang ! ce n’est pas sympa, les gars, on avait dit pas là où y a des gosses.)

Toujours là ? Oui, oui, vous avez raison, je vous ai un peu laissés seuls sans tout légender. Mais je ne doute pas que vous avez reconnu la caserne de pompiers du film "Ghostbusters", constaté par vous-mêmes qu’il y avait un immeuble sans aucune fenêtre (infos ici pour les curieux), un autre qui me fait penser à des carrés de sucre de canne, certains bien colorés, l’Empire State Building en arrière-plan, la passerelle de Staple Street, la tour One World Trade Center, l’American Standard Building, les San Remo Apartments. À propos de la dernière image juste au-dessus, il faut savoir qu’il s’agit du gratte-ciel "Steinway", inauguré en avril 2022, qui est le plus fin du monde (on dormira mieux cette nuit grâce à cette info, j’en suis quasi certaine).

Bien, sur ce, par quoi je poursuis maintenant… ?

La statue de "The Fearless Girl", j’en ai déjà parlé, bon, puisque les retardataires insistent…

D’accord pour un coup d’œil rapide alors, et même sur une certaine Alice au pays de Central Park. Pas de jalouses comme ça !

👉 Voilà, j’y suis ! Je sais ce que j’ai oublié aussi dans les autres publications… le quartier de Chinatown

et celui du quartier italien, qui va tenir sur une image, et je m’excuse auprès d’eux, mais sinon, on ne va jamais en finir (🇮🇹 scusate amici miei, soprattutto non incolpatemi).

Un article sur New York sans un petit shoot tout riquiqui de street art, ça n’est juste pas envisageable avec moi.

👉 Plus sérieusement, j’avais oublié aussi de vous dire qu’à deux pas du mémorial du 11 septembre, au mur d’un immeuble de Greenwich Street, on trouve une fresque en bronze dédiée à la mémoire des pompiers.

Juste à côté aussi, il y a la sculpture The Sphere, ce globe de 8 mètres de haut qui se situait au pied des tours jumelles, qui avait été retrouvée cabossée sous les décombres.

Lever de soleil, coucher de soleil, brouillard assommant, nuit étincelante, pluie ruisselante au téléphérique de Roosevelt Island, silence autour de la One World Tower… c’est la coupure pub, c’est cadeau.

Puis, on se dirigera doucement vers une petite conclusion bien de chez moi. Ça vous va ? Tenez bon, on y est presque.

Vous aussi ? Vous l’avez bien remarqué ? On est bien d’accord que je n’ai pas montré une seule fois la moindre des photos de Broadway, de Times Square en couleurs.

Scandale, impardonnable, impossible de se quitter comme ça, c’est moi qui vous le dis.

Bah oui, je sais bien que c’est blindé de monde là-bas, que ça va nous éreinter, je sais bien tout ça.

Ne voyez pas rouge, faites-moi plutôt confiance.

Regardez-moi ça, si on n’est pas bien là ? Sous la pluie sans parapluie, à 5 h du matin, sans personne.

Ce n’est pas un peu sympathique, cette affaire ? Malgré toutes ces lumières, je vous l’accorde, un peu inutiles et trop nombreuses, presque là uniquement pour moi qui suis trempée de la tête aux pieds.

« C’est parfois dans l’imperfection des choses et des moments que l’on vit que s’y logent aussi nos plus chouettes souvenirs et barres de rire » (citation de moi-même)

Je termine ce quatrième et dernier article sur mon séjour en famille à New York, en vous remerciant pour l’attention que vous lui aurez accordée et pour l’amusement aussi, je l’espère, qu’il vous aura procuré. Pour nous trois, c’était notre première fois là-bas ; en me replongeant dans tout ça et si je devais donner mon ressenti, je dirais qu’au début on se demande un peu ce qu’on fait parmi tant de monde et d’aussi hauts buildings, puis on s’habitue très vite à tout ça ; rapidement, on comprend qu’on aurait dû prolonger un peu pour en voir encore plus, donc on se dit : pourquoi pas, finalement, y retourner un jour…

C’est un peu ça, New York, ça nous ensorcelle, c’est vertigineux, on se met à porter des T-shirts « I ❤️ NY » sans se trouver ridicules, bref, il y a du bon et du moins bon, mais ça marche et ne laisse personne indifférent, puis on rentre dans son pays, on y repense souvent, on regarde la TV et hop, une image par-ci, un doc, une pub, un film par-là, on se dit : « Tiens, t’as reconnu ? Tu te souviens, on est passé par là ».

Aussi, j’espère, dans un avenir lointain, qu’un homme aux tempes blanches et au dos un peu voûté, dont la mémoire sera défaillante en raison de son grand âge, sera en mesure d’avoir toujours, de temps à autre, dans un recoin de sa tête et de son cœur, le souvenir qu’au soir de ses 20 ans, dans l’obscurité de l’East River qu’il longeait cette nuit-là, il avait pour seuls témoins de la fête ses parents et les nombreux buildings de New York pour l’éclairer comme des bougies et que ce moment était magique.

Ça, vraiment, j’espère que ça ne tombera pas dans l’oubli pour lui.

À la prochaine pour un autre voyage 🌍 Bonne rentrée de septembre à tous.

Barbara

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