By Barbara

Jours tranquilles sur Séville 2/2

Wouahouuuuu, presque une semaine que j’ai publié mon premier post sur Séville et me revoilà déjà de retour comme prévu ! Quel temps record, mais que m’arrive-t-il ?

Avant tout, pour les nouveaux qui passeraient par là, si vous découvrez ce contenu, sachez bien que vous n’aurez pas à prendre de notes, que vous ne serez pas assaillies de recommandations précises et documentées sur Séville.

Ce n’est pas trop de ça qu’il est question ici. En réalité, je n’ai pas de réponse, juste des sensations avec lesquelles j’embarque avec moi, à ma manière, celles et ceux qui se suffiront d’une collection d’images, des souvenirs de printemps, de jours tranquilles en famille.

Donc, si on reprend là où nous en étions restés, pour ceux qui m’auraient lue précédemment, il manquait un p’tit quelque chose, c’est bien exact ? Et comme vous étiez nombreux à vous retourner le cerveau avec ce suspense des plus insupportables, eh bien je réponds sans traîner à toutes vos interrogations, c’est cadeau.

Que peut-il alors manquer ? Voyons… voyons… des recettes de tapas, des explications fleuves et captivantes sur la cathédrale Notre-Dame du Siège de Séville où repose la sépulture de Christophe Colomb ? Non, rien de tout cela.

La réponse est prévisible, car coutumier du blog : que je poursuive sur le même thème avec une nouvelle sélection de photos, mais en noir et blanc pour cette fois-ci.
Exit le bus touristique, c'est de nos guibolles dont nous nous sommes le plus servis. Pour cela, je fus, comme toujours, entourée de la plus fantastique équipe qu'il m'ait été possible d'avoir sur le chemin de ma vie.
"Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin…"

La formulation est assez bonne, mais trouvant toujours l’opportunité de m’attarder sur plusieurs choses, je finis inévitablement par les distancer sérieusement en raison des déclics que j’actionne avec mon cher Nikon.
Nous nous retrouvons d’un côté puis de l’autre, sans jamais savoir bien exactement où cela nous amènera…
Ils me disent, au bout d’un moment :
« Mais tu sais vraiment où l’on va ? » « Tu ne vois pas qu’il n’y a rien par là-bas ? »
Je leur fais faire des tours et des détours ; ils trouvent cela sans fin, avec, parfois même, l’impression de tourner en rond.
Puis vient le plaisir commun de prendre un peu de hauteur, de s’écarter du bruit et de regarder les nuages au loin.

Pour ensuite s’orienter de nouveau vers la ville, où nous sommes bien incapables d’identifier les jolis visages que l’on y croise. Rien ne nous est familier à Séville, mis à part un prénom à l’angle d’une habitation, décidément, l’Espagne fait toujours tout pour qu’on s’apprivoise et pour capter mon attention !
Pour finir, nous retrouvons le somptueux palais de l’Alcázar de Séville, l’étonnant Metropol Parasol et la fabuleuse place d’Espagne. Soit trois endroits déjà parcourus au cours du premier volet, mais qui parviennent à m’inspirer tout autant en noir et blanc, sinon peut-être plus ? Et vous, qu’en pensez-vous ?
S’achève dans la nuit silencieuse et scintillante ce nouveau voyage, et pas le dernier de la fantastique équipe !

Se clôture aussi, par conséquent, ce nouvel article, ce dernier partage comme je préfère le définir.
Puisse-t-il vous donner la perspective de vous rendre un jour proche ou lointain à Séville.

Sinon, plus simplement, l’envie que nous nous retrouvions, vous et moi par ici, pour d’autres pauses dans ce monde qui ne cesse, lui, d’être intranquille.

Merci d’avance à ceux qui répondront présents, d’une façon ou d’une autre 💌

À la prochaine, je vous souhaite à tous un agréable été ☀️💦🌍🌄

Barbara
© crédits photo By Barbara

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