"Partir pour mieux revenir" voilà comment devrait s’intituler mon blog, vu à quelle cadence j’y fais des interventions.
7 mois d’absence au compteur cette fois-ci… je ne vais pas vous ressasser qu’est arrivée la fin de mon hibernation ni m’aventurer à faire un bilan comme il pouvait m’arriver de le proposer auparavant en évoquant les news générales qui nous relient tous, telles que le/la Covid (faites votre choix !), les présidentielles en France, cette longue et dramatique guerre en Ukraine… pour ne citer que ça, non, vraiment, très peu pour moi, je passe mon tour.
D’ailleurs, mieux revenir, c’est vite dit ! Car ce n’est ni avec des cadrages audacieux ni avec une créativité des plus démonstratives que je refais surface. Non, j’admets, il n’y a là pas franchement de quoi se démarquer, photographiquement parlant, mais plutôt de mettre un coup de projecteur sur Vivian Maier dont les photographies, restées secrètement dans l’ombre tant d’années de son vivant, se retrouvent exposées à Paris au grand jour, pour le plus doux plaisir des yeux curieux.
Illustre inconnue il y a encore une dizaine d’années, Vivian Maier a bâti sans le savoir une œuvre majeure de la street photography contemporaine et jouit désormais d’une célébrité posthume bien méritée.










































































