Effectivement, nous sommes bien d’accord sur deux points.
À commencer par le fait que, pour toi, cher(e) abonné(e), il s’est passé un moment depuis ma dernière sollicitation. Alors, j’espère que tu gères au mieux cette année 2021 déjà bien entamée, dont le retour à la normalité est le désir commun qui nous anime tous et pour lequel nous faisons preuve de patience, autant qu’il en faut encore de vigilance.
Deuxièmement, le titre de ce nouvel article est d’une banalité sans nom, mais pas tant que ça en y regardant de plus près…
N’est pas responsable le peu de pratique à vous rédiger fréquemment un petit courrier qui m’inflige une si plate inspiration. L’explication, à savoir pour ceux qui ne seraient pas concernés, chanceux de me lire à travers des contrées paradisiaques (chanceux d’y vivre, pas de me lire, entendons-nous bien), est que nous autres, résidents sur le territoire français, n’avons que très peu pu profiter d’un mercure digne d’un climat estival. Empêtrés dans une situation météorologique qui fut, et reste encore, si improbable, nuageuse et pluvieuse comme rarement vécue auparavant, que la joie qui s’empare de nous dès les moindres rayons du soleil nous redonne immédiatement, enfin, la sensation plaisante de se dire ou de chanter « voilà l’été ! ».
Ce qui suit est donc la représentation de cette joyeuse occasion où, entre deux nuages et un bon coup de chaleur, j’ai voulu, comme tant d’autres ce jour-là, vivre moi aussi ma journée d’été à Paris.
Et ça m’a fait penser que je pouvais même vous y embarquer !





















































