Tu es là ? Vous êtes là ? Pour tout dire, je ne sais plus du tout à qui je m’adresse…
Alors avant tout, merci ! Oui, vraiment merci aux abonnés qui viennent de recevoir cette nouvelle publication, de donner un peu de sens à tout ça et d’avoir encore la curiosité de me lire. On dit souvent “jamais deux sans trois”, sauf qu’avec moi, il est fréquent que ça s’éternise un peu plus.
Depuis fin septembre déjà, Santorin par-ci, Santorin par-là… il semblerait que le sujet s’essouffle, et c’est avec un peu d’embarras à peine dissimulé que je reviens à la charge. Je suis forcée de constater une baisse assez significative pour que je la relève de "fréquentation" à découvrir le précédent volet, et, craignant qu’un certain désintérêt se soit installé, j’en viendrais presque à douter de la nécessité de poursuivre sur le sujet, ce qui chamboule clairement ma manière de vous en parler.
Mais pas question de faire la boudeuse malheureuse, et encore moins en public, même restreint ! Alors, je vais envoyer au diable cette pointe d’amertume ridicule, qui se caractérise par un "bad égo trip", une sorte d’effet secondaire inutile, j’en conviens, mais contracté aléatoirement par tout rédacteur enthousiaste et membre actif de la blogosphère. Mon symptôme étant bénin, et finalement, en le regardant de plus près, assez inoffensif, je prends le parti de ne pas m’accabler bêtement avec des conclusions sans fondement.
C’est donc avec deux nouveaux chapitres que je reviens ici, sans oublier de saluer aimablement tout nouveau visiteur tombant sur cette lecture improbable. Inlassablement, j’ai le cœur assez chaud, bouillant comme un volcan, pour vous en montrer un peu trop et toujours plus sur Santorin !



























